La maison Cerruti essaie de ressuciter et a donc engagé aux commandes des collections femme, le très sexy Richard Nicoll qui défile sous son propre label à Londres depuis plusieurs saisons avec un certain succès.
Le soucis est qu'il est bien difficile de réveiller une maison morte dont tout le monde a oublié l'héritage car Cerruti en 2010 évoque surtout des parfums et des chemises un peu improbables pour hommes d'affaires France Telecom.
Alors forcément , Richard Nicoll se plante et propose une collection mal fichue hésitant entre classicisme barbant et fausse hype anglaise (latex et pulls mohair moches).
1 commentaire:
il ne suffit pas d'être sexy..
même si les chercheurs de tête sont des femmes ou des hommes comme les autres..
ils devraient penser au dessus de la ceinture, pour l'avenir d'une marque!
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