jeudi 30 juillet 2009

mercredi 29 juillet 2009

mardi 28 juillet 2009

Buvez Madison adore Louis De Funès


Bien plus qu’une simple biographie, « Louis De Funès, Grimaces et Gloire » raconte l’histoire de toute une époque marquée au fer rouge par ce monstre sacré du 7ème art français dont le jeu comique a transcendé les continents et marqué à jamais les esprits.

Bertrand Dicale nous offre ici un portrait complet de Louis De Funès dont les mimiques auront donné le ton à toute la génération d’acteurs comiques qui lui a succédé - inspirant même, semble-t-il, jusqu’à notre président de la République. Dicale évoque inévitablement les films les plus marquants de de Funès, comme La Grande Vadrouille, Le Gendarme De Saint-tropez et Les Aventures De Rabbi Jacob, mais aussi ses autres films, un peu moins connus du grand public.

Les hauts, les bas, l’acteur, le personnage privé comme le personnage public, rien n’est mis de côté par l’auteur. Au menu de cet ouvrage chronologique extrêmement bien documenté : des anecdotes de plateau, des extraits de dialogues marquants, drôles et inoubliables, des chiffres et de nombreux témoignages d’autres stars, de réalisateurs et même de techniciens ayant côtoyé de Funès.

Les puristes apprécieront particulièrement les quelques critiques venues d’outre-mer tirées du New York Times ou de Variety que l’auteur a décidé de laisser en version originale, autant de preuves du phénomène international qu’était véritablement de Funès. En bonus, quelques raretés comme cette variante du scénario de La Grande Vadrouille dont un passage avait été coupé au montage par Gérard Oury. Ou encore cette question, « Pourquoi Louis De Funès n’a-t-il pas tourné de rôles dramatiques ? » qui a dû en intriguer plus d’un et à laquelle quelques uns des réalisateurs ayant travaillé avec l’acteur ont répondu.

De sa naissance jusqu’à sa mort en 1983, « Louis De Funès, Grimaces et Gloire » offre aux lecteurs cinéphiles l'occasion de (re)découvrir l’homme derrière les gesticulations, l’acteur « comique, humain, génial » capable de faire rire petits et grands d’hier, d’aujourd’hui et de demain. De Funès l’intemporel, de Funès l’immortel fait figure de véritable monument de notre patrimoine français, et ce livre qui lui rend un très bel hommage est à savourer sans modération.

lundi 27 juillet 2009

Buvez Madison aime Lucie Muratet

Buvez Madison et Pierre Eugène


Buvez Madison a retrouvé ce texte formidable écrit par notre ami le talentueux Pierre Eugène.
Nous avons eu envie de le publier à nouveau.

Casablanca, la nuit, le 25 avril 2008
Chers Buvez,

Je ne peux vous appeler autrement que par ce nom court, ce sur-nom qui me plaît, cette sorte d’impératif, de bonne humeur communicative, injonction joyeuse d’un amusement qui ne demande qu’à être participé. Le Madison de Buvez Madison s’est évanoui, passé du côté de l’inconscient. Rechercher l’inconscience, une envie d’être porté par quelque chose de plus impérieux (main de fer et gant de velours) c’est pas ça, l’envie de la danse ?

Tourner, se retourner, sur une piste de danse plutôt que dans un lit, quelle idée de sortir en boîte ! N’est-ce pas un peu magique, un peu effrayant de réunir des gens qui ne connaissent pas dans un lieu qui leur est étranger, pour les faire évoluer, bouger, sur des musiques inconnues d’eux ? Cette ambiance que vous créez à chaque fois est moving. J’aime ce mot anglais aux deux sens : bouger et éprouver des émotions, car c’est bien la même chose. Danser, c’est produire, se produire dans un espace, et reproduire ainsi des figures bien pareilles aux émotions intérieures. C’est dire une forme de vérité sur soi-même, plus vraie sans doute qu’elle n’a jamais de retour : on danse tout inconscient de soi. Cette chose incontrôlée, cette émotion participe d’une sorte de politesse de soi-même : « je me dévoile à vous sans fracas, avec grâce, vous avez le droit de me voir, je vous l’offre ». Alors que partout le regard est interdit, inconvenant, dans une boîte il est joué. La danse apprend une forme d’intelligence, qui est, selon ma phrase fétiche de Roland Barthes, « l’art de penser aux autres ».

Serge Daney se définissait comme un passeur, il était critique de cinéma. Vous qui passez des disques, passez bien plus que de la musique. Chaque petit morceau chante son utopie, celle d’un temps révolu, des années Sagan à celles d’Edwige et du Palace. Votre intelligence est une intelligence du décalage, du saut. Les musiques sont drôles, plaisantes, mais c’est leur succession qui fabrique le charme. Saut dans le temps des époques rêvées, où nous imaginons des gens tous pareils à nous dansant plus ou moins adroitement dans ce qu’ils espéraient être leur époque, qu’il ne comprenaient et ne maîtrisaient sans doute pas plus que nous la nôtre.

Nous sommes des ombres dans des habits de fêtes, ces habits désuets qui ont perdu tout statut, qui ne représentent plus rien et qui, déchus, nous offrent une magnifique liberté d’apparence. Nous ne sommes pas en représentation, juste en présentation : celle des premiers échanges, bêtement matériels et primaires, frontaux. Et chaque morceau nous lance et nous relance bien vifs parmi les spectres, et pourtant revigoré. On boit le passé. Ces chansons très douces épanchent nos cœurs trop secs, salis par les lassitudes du jour, les arrogances des pouvoirs et du travail. Avis à ceux qui ont peur de sortir en semaine, en boîte on ne se fatigue pas, on respire enfin. Car les mouvements de danses sont de pures dépenses, qui n’ont d’autres but que de nous prouver vivants, uniques.

L’utopie, ce sont ces battements de cœur sur une mesure, cet épanchement à la fin d’une onde, ces minuscules soupirs de bonheur. La joie de pouvoir les ressentir en groupe et les montrer dans un enthousiasme communicatif, faire des bonds et des glissements à l’intérieur d’une foule, c’est aussi prendre conscience qu’on ne peut être heureux qu’au creux de quelque chose. On est pas intelligent tout seul, on est pas beau face à soi, on est pas, seul. Vous avez inventé un espace où l’on voyage, où l’on peut s’épanouir hors de tout pouvoir, où le signe n’est jamais sûr et la vie toujours rêvée. Une liberté de la nuit, une communauté de plaisir.
Amitiés,
Pierre

Buvez Madison en privé et Rideau


Dernière Madison de la saison puis vacances

Lucie, Pippa, BM et les autres filles du quartier: être secoués...




Buvez Madison en privé au Curio Parlor: 22 Juillet 2009



jeudi 23 juillet 2009

Buvez Madison aime

mardi 21 juillet 2009

Pippa, Lucie, BM et les autres filles du quartier


Lucie Muratet, grande actrice, grande tragédienne, jouant Phèdre et madame de Merteuil comme pas deux, dilapide cette année son héritage en vous offrant pour son anniversaire Pippa Brooks et Buvez Madison. La folie des grandeurs donc, pour une soirée qui, on vous l’assure cette fois-ci, se terminera bien à 4 heures du matin.

Lucie Muratet, une de nos plus proches amies, a été mariée avec Olivier Coulomb.
Très connue des soirées Madison, elle est la directrice artistique de Promiscuita
( http://www.promiscuita.blogspot.com ), a vraiment joué Phèdre et Madame de Merteuil et serait parfaite dans Pouic-Pouic.

Pippa Brooks fait désormais partie de la famille.
Egérie des nuits londoniennes, elle passe des disques tous les mois au Regine’s pour Ponystep
( http://www.ponystep.com ) et à Londres au George and Dragon.

lundi 20 juillet 2009

samedi 18 juillet 2009

Buvez Madison: Celebration lyrics- Single out end of July




I think you wanna' come over, yeah I heard it through the grapevine.
Are you drunk or you sober? Think about it, doesn't matter
And if it makes you feel good then I say do it,
I don't know what you're waiting for

Feel my temperature rising
There's too much heat I'm gonna' lose control
Do you want to go higher, get closer to the fire,
I don't know what you're waiting for

Come join the party, yeah
Coz' everybody just won't do.
Let's get this started, yeah
Coz' everybody wants to party with you.

Boy you got a reputation, but you're gonna' have to prove it
I see a little hesitation,
Am I gonna' have to show you that if it feels right, get on your marks
Step to the beat boy that's what it's for

Put your arms around me
When it gets too hot we can go outside
But for now just come here, let me whisper in your ear
An invitation to the dance tonight

Come join the party, it's a celebration
Anybody just won't do
Let's get this started, no more hesitation
Coz' everybody wants to party with you

Haven't I seen you somewhere before?
You look familiar…
You wanna' dance? …Yeah.
I guess I just don't recognize you with your cloths on… (laughs)
What are you waiting for?

Come join the party, it's a celebration
Anybody just won't do
Let's get this started, no more hesitation
Coz' everybody wants to party with you X 2

Boy you've got it, it's a celebration
Coz' anybody just won't do
Let's get it started, no more hesitation
Coz' everybody wants to party with you

Boy you've got it
Coz' anybody just won't do
Let's get it started, no more hesitation
Coz' everybody wants to party with you

Buvez Madison présente: Mr Jacques Shu au Curio Parlor 17 Juillet 2009





Buvez Madison en privé au Curio 15 Juillet 2009


mercredi 15 juillet 2009

Buvez Madison en vacances


Première photo reçue.
Merci Maeva.

Buvez Madison BLUE au Curio


Buvez Madison BLUE au Curio




Buvez Madison le matin après le NY club



Buvez Madison au NY Club




mardi 14 juillet 2009

Buvez Madison Bande à part


Buvez Madison revient à ses premières amours et investit Chez Moune samedi soir pour, sans doute, leur dernière soirée en club de la saison.
L'occasion de réunir ceux qui ont été si assidus ces derniers mois et de se trémousser sur la bande son Madison qui vous rend fous ou folles sur la piste de danse.